dimanche 14 novembre 2010

Diplômés à Kerkennah ... Le cauchemar à l'île des rêves..

Diplômés à Kerkennah ... Le cauchemar à l'île des rêves..

Kerkennah est une oasis située au sein de la mer méditerranéenne distinguée par leur fraîcheur et sa simplicité de vie. Elle est nommée comme l’île des rêves mais dés nos jour elle est devenue un handicap pour les diplômés pour des multiples raisons.

Des jeunes sont rassemblés dans un café, parmi eux qui jouent aux cartes et d’autres bavardent sur divers thèmes concernant le football et la pêche.
La plus part de ces jeunes ont terminées leur études supérieure dans des différentes branches et plusieurs domaines.
Et suite à cette situation tellement désastreuse qu’elle est sans issue pour le moment et qui entraîne un mécontentement grandioses pour l’avenir de ces jeunes, on a rapproché de ces diplômés pour les écoutés.
Hassen kbaili (23 ans) diplômé de l’école touristique à Nabeul soufre de la routine qui a entré dans sa vie dés 2007 lorsqu’il a terminé ses études.
Il se réveille le matin à 10h prend son petit déjeuner et puis destination café corniche Saida pour se rencontrer avec ses amies et passent leur temps en discutant à des thèmes divers, puis à midi il rentre chez lui pour prendre son déjeuner et un peu de repos soit en regardant la télé ou faire la sieste.
Ensuite, il retourne au café pour bavarder avec les amis ou jouer au carte, le soir il rentre chez lui , regarde la télé afin qu’il se sent fatigué, Hassen décide alors de dormir.
Et ainsi de suite, chaque jour ressemble au jour qu’il précède, rien de nouveau.
Hassen déclare qu’il adore la vie à Kerkennah mais il faut installer des projets multiples pour avoir du travaille comme par exemple une cité touristique ou il y aurait des débouchés d’emploie.
On a laissé Hassen qui a suivi la discussion avec ses amis, puis on s’est dérigé vers une autre table d’où on a entamé la discussion avec une autre personne qui s’est présenté comme Mohammed.
Mohammed Kacherem a suivi des études en anglais et depuis 3 ans il est au chômage. Ses jours sont les mêmes, rien de nouveaux.
Chaque matin, il va au café pour rencontrer ses amis où ils jouaient au « Rami » et discutaient à des thèmes divers, puis il rentre à la maison pour prendre son repas. Et après il revient au café pour passer son après midi, le soir, il rentre à la maison pour se coucher.
« Chaque jour est timbré de l’autre, je me sens comme un robot programmé, n’a pas le droit de faire des choses qui ne sont pas afficher parmi la programmation, je me sens comme un prisonnier, rien de spécial dans ma vie » a dit Mohammed.
Il ajoute qu’actuellement les diplômes universitaires n’aboutissent pas à l’octroi de l’emploie dans les divers établissement publiques ou privés ; ceci implique l’ors de se présenter pour avoir un emploie ou un recrutement les responsables de ces établissement demandent primordialement de l’expérience.
A ce moment là, la vie devient pour Mohammed tellement sombres.
Juste à coté de Mohammed s’assis Imed Kammoun un jeune de 21 ans ayant un diplôme de l’institut supérieure d’éducation physique.
Son visage est recouvert d’une barbe épaisse et ayant des rides on dirait des sillons de sable dans le désert.
Et avec un ton tellement désespéré, il a commencé a exprimé ces lassitude suite à sa situation d’un chômeur.
Il passe tous son temps au café jouant aux cartes ou discuté avec ses semblables chômeurs.
Et pour récupérer son financement quotidien, il s’embarque avec les pêcheurs pour subvenir ses dépenses. 
Lorsqu’il a de l’argent la première chose qui frappe sa tête c’est d’aller au bar pour s’échapper de la vie réelle à une autre merveilleuse et pour cela il voit la bière comme la plus belle chose pour passer le temps à kerkennah.
Et il fini par un grand soupir espirant qu’il trouvera du travail un jour. 
Ceci est un schéma reflétant la situation actuelle des chômeur de kerkennah ayant des diplômes universitaires et qui n’ont pas trouvé aucune solution sauf la patiente.
Espérant qu’ils trouveront ce qu’ils désirent un jour…

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